Aujourd’hui, c’était l’avant-dernier jour de l’exposition Félix Vallotton au Grand Palais. Il était temps que j’y aille ! Extrait de mon carnet d’expo représentant une de ses gravures sur bois, L’irréparable (1898). J’aimais bien la grosse potiche chinoise en bas à droite avec la bouche du poisson. La plante jaillit de la potiche, Monsieur et Madame sont fondus dans un canapé aussi noir qu’eux et ils sont aussi muets que le poisson. Le graphisme des gravures de Vallotton est impeccable, tout comme les aplats de couleurs de ses peintures.
D’après Vallotton
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