Faute de pouvoir faire commmmmeuuuu l’oiseau*, on accroche quelques plumes à ses lobes d’oreilles.
*ça vit d’air pur et d’eau fraîche un oiseau (mais jamais rien ne l’empêche d’aller plus haut) !
Archives de l’auteur : celeste
Bol de riz
Malade ces jours-ci, mon alimentation se limite à un bol de riz, auquel j’ajoute un mélange de fruits secs (noix de cajou, amandes, noisettes, raisins secs), du persil, de l’estragon et une vinaigrette bien moutardée (au vinaigre balsamique) pour combattre les bactéries bizarres. Le tout dans un bol en céramique danoise (Broste, Copenhagen -allez voir, c’est trop beau) acheté chez Fleux. Oui, parce que ce n’est pas parce qu’on est malade qu’on devrait manger dans un vieux bol en plastique non plus. Restons snobs. Paraît que ça aide à guérir.
Chapeau !
Extrait de Finlande
My parrot
Youhouh ! Je vous présente mon beau perroquet. Il y a une déferlante « perroquets-jungle » depuis déjà quelques années dans les motifs et dans la mode mais j’avoue ne pas m’en lasser, la preuve, c’est que j’en mets dans mes toiles. Un exotisme à moindre coût pour nous autres pauvres occidentaux : les merles et les mésanges ne nous feraient-ils pas rêver ?
Pied de biche Margiela
Les poignets de Giambattista Velli
Pour une poignée de main pleine d’assurance (et une allure pleine de classe), parez vos poignets des bracelets larges de Giambattista Velli.
Sinon, le dessin de la silhouette, vous le préférez avec ou sans stylo autour ? Sans stylo, c’est plus léger, plus pictural, plus romantique. Avec le contour, c’est plus précis mais ça donne un petit côté 80′s je trouve. Alors ?
Papillon Gaultier
Club Chanel
Saint Karl (Lagerfeld) a de nouveau étonné et ravi les invités mardi dernier au défilé Chanel haute-couture au Grand Palais, avec un orchestre de Sébastien Tellier et ses musiciens. Sur une musique bulle de champagne, les mannequins, fraîches, sportives et souriantes ont descendus les escaliers « en sautillant » (et en baskets ! vive le plat !), dans un décor de club spatio-temporel, ou plutôt intemporel : c’est ça la magie Chanel, et ça opère à tous les coups.
D’après Vallotton
Aujourd’hui, c’était l’avant-dernier jour de l’exposition Félix Vallotton au Grand Palais. Il était temps que j’y aille ! Extrait de mon carnet d’expo représentant une de ses gravures sur bois, L’irréparable (1898). J’aimais bien la grosse potiche chinoise en bas à droite avec la bouche du poisson. La plante jaillit de la potiche, Monsieur et Madame sont fondus dans un canapé aussi noir qu’eux et ils sont aussi muets que le poisson. Le graphisme des gravures de Vallotton est impeccable, tout comme les aplats de couleurs de ses peintures.